 | Monsieur VICTOR JACQUES LARCIN « Papa, Je n’ai pu t’adresser un regard, un sourire tu es parti trop vite et sans me prévenir. Immense est ma tristesse. Je voudrais te le dire au-delà du chagrin, au-delà de nos peines. Sans cesse, je vais vivre et nourrir les images du passé, images qui n'appartiennent qu'à toi et moi, immuables pour l'éternité. Vivre et croire, c’est aussi accepter que la vie contient la mort et que la mort contient la vie. Tu ne nous as pas quittés, tu es parti au pays de la Vie. Là où les fleurs jamais ne se fanent, Là où c’est toujours matin de Laetare, Là où c’est toujours ensoleillé. Tu as quitté nos différences, nos discordances et nos souffrances. Enfin serein et apaisé, tu as pris de l’avance au pays de la Vie, au pays du cœur. En souvenir de toi, en souvenir de Mamy Rose Aimée, mes pensées vous rejoignent au pays du cœur, au pays de la mémoire. Là où la présence des absents est plus forte que la mort, plus forte que les manquements, plus forte que la médisance et la calomnie. Tu nous rappelles à tous ici-bas, que lorsque les justes crient, L'Eternel entend et il les délivre de leurs détresses. Repose en paix Ta fille Laurence »
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